La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

«Ce n’est quand même pas de notre faute, yodelidiouh»

En des temps pas si lointains et heureux, les yodleurs yodlaient sans arroser le virus autour d’eux. Ici en 2017. © Keystone-archives
En des temps pas si lointains et heureux, les yodleurs yodlaient sans arroser le virus autour d’eux. Ici en 2017. © Keystone-archives

Ariane Gigon

Publié le 24.10.2020

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Outre-Sarine

Accusations » Qui n’en a pas parlé, qui ne s’en est pas gaussé: la comédie musicale de yodel Uf immer und ewig (Pour l’éternité), qui tourne en Suisse alémanique depuis janvier 2020, s’est révélée être un événement de supercontamination du virus dans le canton de Schwyz. Le malheureux destin des yodleurs et du public testés positifs a eu un écho jusque dans le New York Times.

Plus de la moitié des membres d’une chorale neuchâteloise ont également été infectés. Mais un certain voyeurisme (voire une certaine Schadenfreude) a fait que les Schwyzois ont été bien davantage raillés que les Neuchâtelois… En costume, poussant la youtze, diffusant l’affreux virus, quoi de mieux à dénigrer?

Les organisateurs du spectacle sont sortis

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11