Pour sa première Coupe du monde de la saison, Madeline Coquoz a fait le voyage de Xi’an au centre de la Chine. Une compétition qui n’avait pas réuni tout le gratin du plongeon à cause des difficultés à entrer dans le pays. «L’organisation avant était assez compliquée, mais sur place c’était génial, explique la Fribourgeoise, jointe par téléphone. Nous étions en petit comité, l’ambiance était familiale.»

Madeline Coquoz n’est cependant pas allée faire du tourisme à 1000 km à l’est de Pékin. Elle s’est classée 11e des qualifications (247,55 points) et 12e de la finale (242,10), en dessous de son record international établi à 252,55 points lors des Européens de Rome l’année passée. «Et surtout dans la moyenne basse de ce dont je sais