La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Ces héros neuroatypiques des séries télé

Plusieurs séries ont des héros neuroatypiques. Le point avec la psychologue Rachel Marchitelli

Astrid (Sara Mortensen, à g.) est une documentaliste autiste en duo avec Raphaëlle (Lola Dewaere) dans une série visible sur la RTS. © Patrick Fouque
Astrid (Sara Mortensen, à g.) est une documentaliste autiste en duo avec Raphaëlle (Lola Dewaere) dans une série visible sur la RTS. © Patrick Fouque

Tamara Bongard

Publié le 20.12.2022

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Ecrans » Contre toute attente, ces héros de séries résolvent les affaires sur lesquelles leurs collègues se sont cassé les dents. On ne les prend pas au sérieux au premier abord car ils ne sont pas des neurotypiques, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas un fonctionnement neurologique considéré dans la norme. Cette différence leur permet pourtant d’observer les dossiers avec un regard original. Monk scrute les scènes et les gens au travers de ses TOC (troubles obsessionnels compulsifs) et de ses nombreuses phobies, la femme de ménage Morgane Alvaro défie les cerveaux moyens grâce à son QI très élevé dans HPI et Carrie Mathison souffrant d’un trouble bipolaire déploie une énergie herculéenne au service de la CIA dans Homeland. Le tout malgré leurs difficultés respectives avec le fonctionnement soci

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11