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«J’ai senti une nécessité»

Laurence Wagner a dû retenir son souffle avant de vivre en ce début d’été son premier Belluard Bollwerk. Perspectives

Directrice du Belluard Bollwerk, festival fribourgeois d’arts vivants, Laurence Wagner veut laisser la porte ouverte aux artistes sur le point d’éclore.
Directrice du Belluard Bollwerk, festival fribourgeois d’arts vivants, Laurence Wagner veut laisser la porte ouverte aux artistes sur le point d’éclore.
«J’ai senti une nécessité»
«J’ai senti une nécessité»
«J’ai senti une nécessité»
«J’ai senti une nécessité»

Photos Alain Wicht Texte Elisabeth Haas

Publié le 17.07.2021

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Après le déluge (2/7) » C’est en pleine tempête qu’ils ont repris la barre d’une embarcation. Tout l’été, La Liberté donne la parole à ces nouveaux timoniers de la culture.

Que les anciens lui disent qu’ils ont ressenti la même ambiance fébrile qu’aux débuts du Belluard Bollwerk, il y a 38 ans, et qu’un public tout jeune se soit senti concerné par son attachement aux problématiques de genres, à des relectures queer de l’histoire ou à des artistes non binaires, l’ont beaucoup touchée. Pour Laurence Wagner, l’édition 2021 est celle d’une renaissance. Après le choc de l’annulation du festival 2020, puis le renoncement à une partie du «Plan BB», la directrice du festival fribourgeois d’arts vivants a pu vivre en ce début d’été sa pre

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