Olivier Murith, question d’équilibre
Le directeur musical de l’Opéra des champs évoque son rôle dans la production du Chat botté
Elisabeth Haas
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Pendant une année, La Liberté a suivi la création d’une nouvelle œuvre, Le Chat botté, par l’Opéra des champs. Dixième épisode.
L’arrivée en fosse des douze musiciens, prévus par la partition du Chat botté, est en quelque sorte la dernière pièce du puzzle. L’orchestre représente le dernier maillon de la chaîne artistique qui conduit à la représentation d’opéra. Il intervient aux derniers jours des répétitions. «Tant que je ne donne pas le départ, la représentation ne peut pas commencer», sourit Olivier Murith, qui attend le public familial à la Salle CO2 de La Tour-de-Trême cette fin de semaine. Il a dirigé la générale dimanche dernier ainsi que trois représentations scolaires cette semaine, qui auront permis d’aboutir le spectacle.