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«C’est gratifiant de voir les résultats de son travail»

Timon Gavallet défend les couleurs de l’UDC depuis 2015. © Alain Wicht, archives
Timon Gavallet défend les couleurs de l’UDC depuis 2015. © Alain Wicht, archives
Publié le 23.05.2022

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Parle-moi de ta cause!

Timon Gavallet, un étudiant de 22 ans, a pris la vice-présidence des Jeunes UDC suisses, puis de l’UDC Fribourg.

«Ma première initiation à la politique a eu lieu à l’école secondaire de La Tour-de-Trême lors des cours de citoyenneté, où notre professeur nous a parlé de la session fédérale des jeunes à Berne. J’y ai pris part par curiosité et j’ai trouvé ce rassemblement très intéressant. Cela m’a permis de créer un réseau de contacts dans toute la Suisse et m’a motivé à m’intéresser à ce qui se faisait dans ce domaine.

Ensuite, je me suis inscrit au Parlement des jeunes du canton de Fribourg. Au fil des discussions avec mes amis, j’ai commencé à retrouver ma couleur politique dans l’UDC au niveau des idées et des valeurs, notamment la défense du monde agricole. Je suis alors entré dans ce parti en 2015, et la politique est devenue avec le temps une vraie passion. J’ai été directeur de campagne fédérale de 2018 à 2020, puis vice-président des Jeunes UDC suisses de 2020 à 2022, ainsi que de l’UDC Fribourg depuis 2021. J’ai également cofondé le Conseil des jeunes de la Gruyère en 2020.

Ces postes à responsabilité me permettent de participer directement aux décisions et de m’investir personnellement pour changer les points qui ne me plaisent pas. C’est gratifiant de voir les résultats de son travail. De plus, c’est l’occasion de rencontrer et d’échanger avec des personnes de tout âge qui peuvent nous transmettre leur précieuse expérience.

La politique est essentielle, mais les gens s’y intéressent malheureusement trop peu. Beaucoup ne votent pas et s’arrêtent à la première image que renvoie un parti, par exemple aux discours parfois extrêmes et aux affiches provocatrices de l’UDC, et le critiquent ensuite sans s’intéresser aux idées derrière. Je trouve ça dommage, car la politique permet de débattre de façon constructive, même si on a des avis divergents, et de résoudre ensemble des problèmes.» CHIARA BOVIGNY

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