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Au bout de la pelote, un peu d’espoir

L’Ouvroir de Vaulruz se perpétue depuis 1976. Ses dames exposent leurs réalisations ce week-end

Toute la production des dames de l’Ouvroir ( ici, de g. à dr. , Monique Grandjean, Nathalie Schnegg, Elisabeth Sauterel, Liliane Gaio et Madeleine Sottas) est destinée aux nécessiteux. Charly Rappo © La Liberté
Toute la production des dames de l’Ouvroir ( ici, de g. à dr. , Monique Grandjean, Nathalie Schnegg, Elisabeth Sauterel, Liliane Gaio et Madeleine Sottas) est destinée aux nécessiteux. Charly Rappo © La Liberté

Stéphane Sanchez

Publié le 08.06.2023

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Mission» La crypte de la cure de Vaulruz se transforme jusqu’à ce dimanche 11 juin en caverne d’Ali Baba. Les quinze couturières et tricoteuses de l’Ouvroir missionnaire de Vaulruz y exposent une partie de leur production annuelle: cinquante jaquettes et autant de paires de chaussettes, près de 100 couvertures, 90 bonnets et 140 chaussons de bébés, plus de 200 robes, 420 poupées, des chemises, des langes, des tabliers d’infirmières, des culottes en coton, des pulls, et bien d’autres vêtements encore. Un vertige de mailles à l’endroit ou à l’envers, qui sera bientôt envoyé aux quatre coins du monde et de sa misère.

«La misère n’a ni frontière, ni religion»
Elisabeth Sauterel

Le groupe lui-même vient d’un lointain passé: «Il est né lors de la Grande ke

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