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Le médaillé qui a failli ne pas l’être

En argent aux Jeux de Los Angeles en 1984, Laurent Vial n’aurait, à la base, pas dû être du voyage

Même quand il ne voulait plus entendre parler de cyclisme, le vélo a toujours accompagné Laurent Vial. © Charly Rappo
Même quand il ne voulait plus entendre parler de cyclisme, le vélo a toujours accompagné Laurent Vial. © Charly Rappo

Patrick Biolley

Publié le 25.02.2022

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Cyclisme » «Promettez-moi une chose: si je deviens rasoir, vous m’interrompez directement.» Lors de la prise de rendez-vous, Laurent Vial a hésité à ouvrir son livre de souvenirs. Et pourtant, le médaillé d’argent du contre-la-montre du 100 km par équipes de Los Angeles 1984 en a des choses à raconter. L’histoire cycliste de Laurent Vial a commencé sur les routes broyardes, il était alors épaulé par Bernard Bärtschi, «qui m’a appris à faire du vélo», souligne-t-il, et Théo Hoffmann. «Il était parti étudier le vélo en Belgique et avait vu éclore Eddy Merckx. Il m’a expliqué la philosophie du vélo.» Aujourd’hui installé à Estavayer-le-Lac, cet originaire du Crêt qui a grandi à Corcelles-près-Payerne a gardé cette passion

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