Commentaire: Un bilan inégalé pour un «Mister» pas épargné
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Rien ne lui aura été épargné. Pas aussi populaire que Köbi Kuhn et pas aussi prestigieux que «Gottmar» Hitzfeld, Vladimir Petkovic aura passé sept ans à prouver sa valeur. Avec maladresse, peut-être, mais sans artifice. Sa légitimité et ses choix auront été fréquemment remis en question, jusqu’à la 77e des 78 rencontres qu’il aura dirigées. Qu’on se le dise: sans la partition épique jouée par ses hommes face à la France, et la presque qualification pour les demi-finales qui a suivi, l’opinion publique n’aurait pas été aussi prompte à regretter l’étrange départ du «Mister» pour Bordeaux. Avant le 28 juin 2021, le désamour était aussi profond qu’injustifié. Le troisième choix de la fédération en 2014, derri