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L’avenir du Val Calanca en jeu

Quatre communes grisonnes voteront sur le premier parc régional au sud des Alpes

L’avenir du Val Calanca en jeu
L’avenir du Val Calanca en jeu
Avec le pont en pierre d’Arvigo et d’autres atouts, le Val Calanca pourrait renforcer son offre touristique grâce à un parc naturel régional. © Adobe Stock
Avec le pont en pierre d’Arvigo et d’autres atouts, le Val Calanca pourrait renforcer son offre touristique grâce à un parc naturel régional. © Adobe Stock

Andrée-Marie Dussault

Publié le 27.01.2023

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Grisons » Ce dimanche, le sort de l’éventuel premier parc naturel régional au sud des Alpes, en Suisse, sera connu. Les quelque 500 habitants des communes de Buseno, Calanca, Rossa et Santa Maria voteront pour avaliser le projet du parc du Val Calanca, une vallée italophone des Grisons. Plus modeste que celui du Parc national Adula, rejeté en 2016 et qui s’étendait sur 17 communes, le nouveau projet couvrirait 140 km2. Et il a plus de chances d’être accepté: les communes du Val Calanca avaient massivement soutenu le projet Adula.

Le «oui» l’emportera-t-il? «Je l’espère!» s’exclame Dorothea Rigonalli, maire de la commune de Calanca. «Il y a quelques personnes pour qui il est difficile de comprendre l’intérêt, qui peinent à voir les opportunités de développement dans la région et qui sont opposée

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