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Les cabanes risquent d’être à sec

Le réchauffement allonge la saison, mais réduit les ressources en eau des refuges

Le CAS est confronté à un défi de taille: la pénurie d’eau, toujours plus aiguë, dans ses refuges. Sur la photo figure la cabane du Wildhorn située à 2303 mètres d'altitude dans les Alpes bernoises. (archive)
Le CAS est confronté à un défi de taille: la pénurie d’eau, toujours plus aiguë, dans ses refuges. Sur la photo figure la cabane du Wildhorn située à 2303 mètres d'altitude dans les Alpes bernoises. (archive)

Andrée-Marie Dussault

Publié le 23.03.2023

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Montagne» L’an dernier, le Club alpin suisse (CAS) a battu des records de fréquentation de ses 153 cabanes et bivouacs. En près de 160 ans d’histoire, il n’avait jamais enregistré autant de nuitées: 374 925, soit 15 000 de plus que le précédent record datant de 2009, pour un chiffre d’affaires total de 37,9 millions de francs. Cependant, le CAS est confronté à un défi de taille: la pénurie d’eau, toujours plus aiguë, dans ses refuges.

374 925 

Le nombre de nuitées en 2022 dans les cabanes du CAS

«On a peu de neige en montagne, ce qui signifie qu’on aura très peu d’eau cet été. Nous sommes assez préoccupés», admet Giovanni Galli, président de l’antenne tessinoise du CAS. A la cabane Adula, située au pied du Rheinwaldho

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