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Série: Sur Netflix, un plaisir sud-coréen même pas coupable

Badland Hunters, une dystopie déjantée s’amuse de la fin du monde. Attention, ça va secouer!

De gros moyens et une photographie léchée au service d’un divertissement déjanté aussi drôle que violent. © Netflix
De gros moyens et une photographie léchée au service d’un divertissement déjanté aussi drôle que violent. © Netflix

Olivier Wyser

Publié le 27.02.2024

Temps de lecture estimé : 1 minute

Le cinéma sud-coréen est décidément le nouvel eldorado du cinéma de genre. Si ce dernier n’existe plus réellement sous nos latitudes ni outre Atlantique d’ailleurs, il en va tout autrement au Pays du Matin calme. Là-bas, il n’y a pas de honte à faire des films d’horreur réellement flippants, des thrillers carrément glauques, des westerns qui sentent la sueur et la poussière ou des films d’action qui vous brisent les côtes.

Badland Hunters est donc un petit plaisir même pas coupable signé Heo Myeong-haeng. Un nom qui ne vous dira rien puisqu’il s’agit de son premier long-métrage… Pourtant, le cinéaste n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il officie comme cascadeur depuis bien longtemps (il apparaît dans Old Boy de Park Chan-wook et a réglé les cascades du Bon, la Brute et le cinglé de Kim Jee-woon).

Situé dans un avenir proche, ce film dystopique est en quelque sorte la suite non officielle de Concrete Utopia sorti l’année dernière. Le film se concentre sur ce qu’il res

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