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Ces écrivains romands qui rêvent d'écrire pour le cinéma

Alors que les scénaristes font grève à Hollywood, les écrivains romands continuent d’aspirer au septième art, non sans difficultés

Une scène de Cela s’est passé en plein jour (1958), sur un scénario de Dürrenmatt, qui le réécrira pour publier La Promesse, subvertissant au passage le happy-end inhérent aux productions cinématographiques de l’époque. © BN/Simon Schmid
Une scène de Cela s’est passé en plein jour (1958), sur un scénario de Dürrenmatt, qui le réécrira pour publier La Promesse, subvertissant au passage le happy-end inhérent aux productions cinématographiques de l’époque. © BN/Simon Schmid

Thierry Raboud

Publié le 08.09.2023

Temps de lecture estimé : 11 minutes

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Cinéma » «Quand tu écris de la littérature, tu es en bas de l’échelle alimentaire. Le théâtre c’est un peu mieux. Mais écrire pour les écrans, c’est vraiment le haut du panier en termes de rémunération!» image Daniel Vuataz, auteur lausannois rompu aux mécanismes narratifs, et bientôt à ceux du septième art subventionné en Suisse. Une industrie fragile, proche encore de l’artisanat, mais dont les projecteurs attirent plus que jamais les raconteurs.

Juste retour tant le cinéma, des prémices aux blockbusters, n’a cessé de puiser son inspiration dans la littérature. Ainsi, passé la défiance envers ce médium concurrent dans lequel Proust ne voyait dédaigneusement qu’un

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