Parle-moi de ton sport
» «J’ai commencé le lacrosse juste après le semi-confinement. J’avais découvert ce sport quelques années auparavant, lors d’une journée sportive au cycle d’orientation. En 2020, j’ai donc intégré le club de lacrosse de la ville de Fribourg. Avec mon équipe, nommée les Skunks, nous prenons part chaque année au championnat suisse. Nous nous retrouvons deux à trois fois par semaine. En général, les entraînements durent d’une heure et demie à deux heures. Après la récente dissolution de l’équipe féminine, notre club de 30 membres ne compte malheureusement plus qu’une seule formation. Au total, huit équipes venant de toute la Suisse participent au championnat.

Le lacrosse se pratique sur un terrain de football où deux équipes, composées de dix joueurs, s’affrontent. Le but est d’envoyer la balle dans le goal adverse. Les joueurs se font des passes à l’aide de bâtons auxquels sont accrochés des filets. Ces filets servent à transporter la balle, à l’attraper ainsi qu’à la lancer, sa prise étant interdite avec les mains. Une équipe est toujours structurée de la même manière: un gardien, trois défenseurs, trois milieux de terrain et trois attaquants. Les règles du jeu du lacrosse ressemblent à celles du hockey sur glace.

«Les joueurs se font des passes à l’aide de bâtons auxquels sont accrochés des filets

Ce qui me plaît par-dessus tout au lacrosse, c’est l’esprit d’équipe. Sans cohésion entre les joueurs, il est impossible d’obtenir de bons résultats. Le lacrosse est un sport physique qui me permet de me dépenser et de me défouler. Je peux me donner à fond et le fait de ne pas jouer uniquement pour soi mais pour une équipe est d’autant plus satisfaisant. Contrairement aux autres sports que j’ai pratiqués, le lacrosse n’est pas extrêmement compétitif. Bien sûr, nous visons toujours la victoire, mais il n’y a pas de rivalité. La progression est personnelle.»