Patrouille des glaciers: Une peine double difficile à avaler
A la déception de l’annulation de la 1re vague s’ajoute l’amertume des gros montants engagés et «perdus». Des régionaux témoignent.
Jonas Ruffieux
Temps de lecture estimé : 6 minutes
C’est la double peine pour les patrouilleurs de la première salve, qui devaient s’élancer dans la nuit de mardi à mercredi. A la déception de l’annulation s’ajoute un aspect non négligeable: la finance d’inscription n’est pas remboursée. «Ce n’est jamais agréable de perdre 500 francs dans le vide», concède Xavier Büchler.
Le Veveysan devait s’élancer d’Arolla pour la petite Patrouille, un parcours pour lequel chaque trio doit débourser 1470 francs à l’inscription. «C’est super cher pour une course, mais il n’y a qu’à observer l’investissement de l’organisation pour comprendre la raison de ce tarif. Peut-être que les dépenses ne sont pas toutes optimisées, mais avec l’aspect sécuritaire, je peux comprendre que le coût soit tel.&raqu