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Toussaint: «Prendre le temps de vivre le deuil»

Avant ou après la mort, les doulas de fin de vie accompagnent de plus en plus de personnes en Suisse. Coprésidente de l’association qui les chapeaute, Geneviève Anderfuhren évoque leur rôle à un moment crucial de la vie d’une famille.

Plutôt qu’un enterrement traditionnel, de plus en plus de personnes optent pour une cérémonie laïque, suivie d’une dispersion des cendres dans l’intimité. © Adobe Stock/photo prétexte
Plutôt qu’un enterrement traditionnel, de plus en plus de personnes optent pour une cérémonie laïque, suivie d’une dispersion des cendres dans l’intimité. © Adobe Stock/photo prétexte

Claire Pasquier

Publié le 30.10.2023

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Toussaint » On connaissait les doulas qui accompagnent les jeunes mamans lors de la venue au monde de leur nouveau-né, on connaît moins les doulas de fin de vie, qui assistent mourants et proches endeuillés. Venue des pays anglo-saxons, la pratique se démocratise également en Suisse, où ces spécialistes du deuil deviennent une offre complémentaire au suivi palliatif à domicile. Une façon aussi de préparer et de vivre le deuil comme il se doit.

«Nous comptons 35 membres actifs et 22 membres passifs dont une grande majorité de femmes. Et l’engouement pour la formation – près de 40 nouvelles recrues par an – est très important», se réjouit Geneviève Anderfuhren, coprésidente de l’Association Doulas de Fin de Vie Suisse. L

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